Silhouettes qui avez traversé ma vie,
Parfois, seuls un parfum, une couleur, ravivent de manière fugitive vos existences effilochées.
Vos visages restent dans les brumes de l'imprécis.
Souvenirs où moi-même ne suis plus qu'une ombre du passé.
Evénements d'importance devenus dérisoires...
Seuls subsistent les contours des douleurs et des joies.
Passion, intensité, fougue, figées au mitan du mouvement,
Vous n'étiez donc que cela.
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