Je suis venue te dire tous mes pas
sur les chemins où tu n'étais pas,
et les longs jours sans toi.
Un vague sourire cachait mon désarroi.
J'étais insensible en ce temps-là,
le corps fou et le cœur froid,
dansant une parodie de joie,
cachant toujours le petit vide, là.
Je suis venue te dire tout ça
et mes mots ne suffiront pas.
Il faut que je les trace sur toi,
leur brûlure chasseront l'effroi.
2 commentaires:
Si demain :
"je suis revenue te redire",
ça va flairer le harcèlement,
non ?
bad joke !
Quelle oie blanche je fais : ça ne m'avait pas effleuré. A y réfléchir, oui.
C'était juuste pour ne pas mettre le même titre que le précédent billet.
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